Les3 premiers accords toltèques ne fonctionneront que si vous faites de votre mieux. Ne vous attendez pas à vous exprimer toujours avec une parole impeccable, mais vous pouvez faire de votre mieux. N'imaginez pas que vous ne prendrez plus jamais rien personnellement, faites seulement de votre mieux. Ne croyez pas que vous ne ferez plus
Apprenezà ne pas prendre les opinions personnellement. Selon Don Miguel, nous prenons tout personnellement parce que nous sommes d'accord avec ce qui est dit. Et dès que nous
41views, 7 likes, 0 loves, 0 comments, 1 shares, Facebook Watch Videos from Optim'OM: Détachez vous de l'opinion des autres. Suivez le deuxième accord Toltèque et ne prenez rien personnellement
Nerien prendre personnellement, le 2e Accord, c'est le bouclier qui vous protège de l'opinion des autres. Ne pas faire de suppositions, comme le suggère le 3e Accord, c'est le Graal du chevalier toltèque : sa quête de vérité. Le 4e Accord, Faites toujours de votre mieux !, est sa devise, qui s'applique à chaque aspect de l'existence.
LesAccords Toltèques enseignent comment prendre la responsabilité de nos vies en s’alignant sur nos ressentis. Ma parole est impeccable. Je ne prends rien personnellement. Je ne fais pas de supposition. Je fais toujours de mon mieux. Ma parole est impeccable. Il s’agit d’apprendre à s’exprimer de façon consciente, c’est à dire
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Nerien prendre personnellement : le bouclier du chevalier Le deuxième accord toltèque porte sur l’impact des mots (mais aussi des actes) d’autrui sur moi-même. Si, quoi qu’il arrive, je n’en fais pas une affaire personnelle, les paroles des autres ne m’atteignent plus : j’ai un bouclier qui me protège de toute agression.
Ne rien prendre personnellement » un des accords toltèques qui me trotte en tête depuis ce matin. Fou a quel point la vie, les personnes, les évènements sont faits pour nous mettre face à nous même, nos failles, nos conditionnements mais egalement face à nos forces.
Scandaleux! Je prends rdv pour changer une batterie, je donne la plaque, le modèle etcon commande la batterie avec la pose, horaire compliquée donc obligé de s’organiser bref quand j’arrive « ben non la batterie est placée à l’intérieur du véhicule donc on ne pose pas » Mais vous aviez les caractéristiques du véhicule non ? 0 professionnalisme !
VidéoTikTok de Ezhara Ayam (@ezharaayam) : « Accord n°2 dans le livre de Miguel Ruiz.. les accords tolteques : NE RIEN PRENDRE PERSONNELLEMENT. En voici un extrait.. A méditer : " Quoi qu’il arrive autour de vous, ne le prenez pas personnellement Rien des autres n’est à cause de vous. C’est à cause d’eux-mêmes. Tous les gens vivent dans leur propre rêve, dans
kfYdi. Prenez-vous les choses personnellement ? Je le fais trop souvent. Mon corps et mon cerveau réagissent rapidement au moindre soupçon de critique, de questionnement ou de doute. Tout cela se passe bien avant que mon esprit pensant ne se déclenche. Les quatre accords Don Miguel Ruiz déclare dans Les quatre accords toltèques Ne prenez rien personnellement.» C’est le deuxième de ses quatre accords. Ce livre est un véritable camp d’entraînement pour ceux qui veulent s’investir pleinement dans la recherche de la liberté émotionnelle et spirituelle. J’aime la sagesse toltèque contenue dans ce livre. Jetons un coup d’oeil à ce que Don Miguel Ruiz dit à propos de prendre les choses personnellement et comment surmonter cette habitude d’auto-agression. Ne prenez pas les choses personnellement Don Miguel Ruiz dit que vous prenez les choses personnellement car, à un certain niveau, vous êtes d’accord avec ce qui est dit. Vous pouvez ne pas être d’accord avec eux littéralement, mais quelque chose dans les mots, le regard ou le comportement résonne en vous. Dans mon propre exemple, ce ne sont pas nécessairement les mots exacts, mais l’implication que quelque chose ne va pas chez moi. Don Miguel Ruiz affirme que prendre les choses personnellement est un acte d’égoïsme parce que cela signifie que vous pensez que tout “vous”concerne. Il peut être égocentrique à ce moment-là de prendre les choses personnellement, mais cela ne signifie pas que vous êtes une personne égoïste. Vous pourriez être une personne très gentille et compatissante qui a des blessures profondes qui ont provoqué votre sensibilité ou votre réactivité émotionnelle. Don Miguel Ruiz continue en disant que ce que font les autres ne vous regarde pas. Ils vivent dans leur propre rêve, celui qu’ils ont construit dans leur propre esprit. Leur rêve est enraciné dans la programmation qu’ils ont reçue dans leur enfance et dans les accords ultérieurs – autour du sentiment d’états, de croyances et d’opinions – qu’ils avaient à l’esprit. La façon dont vous répondez reflète votre propre rêve et les accords que vous avez faits en tant qu’enfant. Et cela se passera à moins que vous ne preniez des mesures conscientes pour identifier et modifier ces accords. Lorsque vous prenez les choses personnellement, vous devenez une proie facile pour ceux qui exploitent et manipulent les autres. C’est pourquoi les personnes naturellement sensibles essaient d’éviter les personnes qui drainent leur énergie et celles qui ont des tendances narcissiques. Plus vous vous engagez dans de telles rencontres, plus votre sensibilité sera activée et plus elle deviendra ancrée dans votre cerveau. Cela ne signifie pas que l’autre personne est en faute, vous êtes responsable de vos propres réactions. Mais vous devrez apprendre à renforcer vos limites à la fois énergétiquement et psychologiquement pour pouvoir résister à de tels comportements. L’alternative ? Vivre dans l’amour Au lieu de prendre les choses personnellement, Don Miguel Ruiz nous invite à laisser tomber ses peurs et de vivre dans un lieu d’amour. Lorsque vous vivez de l’amour, vous trouvez le bonheur, le contentement et un sentiment de paix qui ne dépend pas des autres. Ne prenez rien personnellement – même les bonnes choses. Les gens vous flattent à cause de quelque chose en eux. Si vous vivez dans l’amour, vous n’aurez pas besoin de la flatterie des autres. Votre estime de soi sera dans le tact. Vous savez déjà que vous êtes belle, beau et merveilleuxse. Vous n’avez pas non plus besoin de croire la critique intérieure. Ces voix proviennent du conditionnement que vous avez reçu dans votre enfance et n’ont rien à voir avec la réalité. Vous avez maintenant le choix de vivre sous le pouce de votre critique interne ou de rejeter cette programmation. Lorsque vous prenez les choses personnellement, vous créez votre propre souffrance. Si vous avez appris à projeter sur les autres, comme la plupart d’entre nous, lorsque vous vous sentez blessé ou en colère, vous blâmerez les autres pour vos souffrances au lieu d’en assumer la responsabilité vous-même. Mais cela ne fera que continuer le cycle de la souffrance. Quand nous voyons vraiment les autres comme ils sont sans le prendre personnellement, nous ne pouvons jamais être blessés par ce qu’ils disent ou font. Même si les autres vous mentent, ça va. Ils vous mentent parce qu’ils ont peur. Ils ont peur que vous découvririez qu’ils ne sont pas parfaits. Il est douloureux de retirer ce masque social. Si les autres disent une chose, mais en font une autre, vous vous mentez à vous-même si vous n’écoutez pas leurs actions. Mais si vous êtes honnête avec vous-même, vous vous épargnerez beaucoup de douleur émotionnelle. Se dire la vérité à ce sujet peut faire mal, mais vous n’avez pas besoin d’être attaché à la douleur. La guérison est en route et ce n’est qu’une question de temps avant que les choses ne se passent mieux pour vous. – Don Miguel Ruiz Si vous voulez mettre fin à vos propres souffrances, ne prenez rien personnellement. Au lieu de cela, apprenez à voir la situation dans son ensemble et à vivre en amour. Vous pouvez apprendre à ne pas prendre les choses personnellement Ne pas prendre les choses personnellement est une compétence que vous pouvez apprendre. Cela nécessite une pratique engagée et du temps. Entraînez-vous à passer de “vous” vers les choses telles qu’elles sont. Tout ce qu’une autre personne pense ou ressent est à propos d’eux, pas à propos de vous. C’est leur problème, pas le vôtre. Cependant, ne pas ignorer les commentaires valables des autres. Veillez simplement à le revoir à travers le filtre de votre propre sagesse intérieure. Même si nous interagissons avec les autres, nous ne traitons vraiment qu’avec nous – mêmes – nos propres croyances, perspectives et projections. Parce que nous voyons rarement les gens tels qu’ils sont, nous les voyons à travers le filtre de notre propre rêve. Ce que quelqu’un dit ou comment il se comporte peut toucher vos blessures , ce qui est probablement la raison pour laquelle vous le prenez personnellement. Il serait avantageux de se concentrer sur la guérison de vos propres blessures, plutôt que de blâmer l’autre personne. Vous pouvez venir voir ces moments où vous êtes tenté de prendre les choses personnellement pour vous rappeler de vous concentrer sur votre propre guérison. Prendre les choses personnellement peut être un signe de faible estime de soi . Vous vous sentez blessé parce que vous croyez réellement ce que la personne a dit de vous. Faites une évaluation des croyances négatives que vous avez sur votre valeur. Ensuite, écrivez une affirmation contre-définitive pour chacune d’elles, que vous pouvez vous dire lorsque vous prenez les choses personnellement. Votre version de la réalité n’est pas la vérité. Vous avez construit votre version de la réalité en fonction de vos expériences et de vos conditionnements antérieurs. Vous pouvez changer la façon dont vous voyez le monde en réexaminant vos accords, en rejetant ceux qui ne sont pas basés sur la vérité et en créant de nouveaux accords qui vous aident à voir le monde tel qu’il est. Apprenez à vous apaiser lorsque vous ressentez une douleur émotionnelle . Lorsque vous vous dites la vérité sur les mots ou le comportement de quelqu’un d’autre, cela peut vous blesser au départ en raison de vos propres blessures, mais vous vous épargnerez énormément de douleur émotionnelle à long terme. En apprenant à vous apaiser, vous pourrez également adoucir la douleur initiale. Rappelez-vous souvent ne prenez rien personnellement. Quand vous faites une forte habitude de ne rien prendre personnellement, vous évitez beaucoup de bouleversements dans votre vie. Votre colère, votre jalousie et votre envie disparaîtront et même votre tristesse disparaîtra simplement si vous ne prenez pas les choses personnellement. Cet accord et ceux qui le suivent sont nés du premier accord que votre parole soit impeccable. J’ai pris les choses personnellement toute ma vie. Je pense que la plupart d’entre nous le font, mais cela n’apporte que de la souffrance. Je serai toujours une personne très sensible, mais je me sens prêt à être moins réactif émotionnellement. Êtes-vous prêt vous aussi ?
Ce n'était pas un sujet que je souhaitais aborder si vite, mais il est tellement en lien avec l'article précédent sur le lâcher prise... Ce qui transparaît du dernier article, c'est que ce sont nos émotions qui nous empêchent bien souvent de lâcher prise.... Nous ruminons une situation.... Nous revivons des situations qui ne nous ont pas plu, qui nous ont fait mal.... Si nous suivons les accord toltèques surtout le deuxième, nous nous sortons de ce genre de situation. La lâcher prise est alors bien plus facile et la bienveillance peut prendre le pas sur notre colère...Mais que sont ces accords toltèques ?Les Accord Toltèques sont un ensemble de règles qui nous aident à avoir une approche de ce qui nous arrive plus calme et plus sereine. Ecrit par Miguel Ruiz et publié en 1997, ce livre a connu un succès planétaire. Si jusqu'à il y a peu, on ne parlait que des 4 accords toltèques, un 5ème est apparu. 1 AIES UNE PAROLE IMPECCABLELe choix de nos mots est primordiale. Et ils ont un effet sur notre coprs, beaucoup plus important que ce qu'on n'imagine.... Différentes expériences ont été menées par le professeur japonais Masaru Emoto sur l'effet de nos mots vibrations sur les cristaux d'eau. Ainsi, pour faire court et simple, dites des mots doux et bienveillants à un verre d'eau et les cristaux que cette eau pourra former avec le gel seront brillants et auront de belles formes tel un flocon de neige... Par contre, les cristaux provenant d'une eau qui a été soumise à des vibrations négatives mots blessants, dégradants, insultes, ... ont une forme asymétrique, sont ternes...Si l'on se souvient que notre corps est composé principalement d'eau 70 % on peut alors imaginer l'effet de nos paroles sur nos cellules... De même, il est important de mettre de la bienveillance dans ce qu'on exprime. Si vous souhaitez en savoir plus sur les expériences sur professeur Masaru Emoto, voici un article qui aborde ce sujet avec simplicité. 2 NE PRENDS RIEN PERSONNELLEMENTC'est personnellement l'accord qui m'a le plus apporté... Ne jamais en faire une affaire personnelle... Une fois que l'on a compris ce principe, nous avons une approche du dialogue avec l'autre différente. Il m'a été très utile dans mon ancien job où j'étais entouré de certaines personnes très toxiques et qui avaient le don de me mettre en colère de part leur comportements, leur façon de parler aux autres... Une fois que l'on comprend que ce qu'ils disent ne sont que la projection d'eux mêmes.... nous ne pouvons qu'être désolés pour eux... et la colère ne vient plus.... Cela permet aussi de se mettre à la place de l'autre... ce qui ne veut pas dire que l'on accepte leurs agissements !Bref, lorsque vous serez agressé par une personne, repensez-y avant de vous énerver !! et voyez quel effet cela a sur vous....Le lâcher prise peut alors se faire beaucoup plus facilement....3 NE FAIS PAS DE SUPPOSITIONSIl n'y a rien de pire que les suppositions pour nourrir nos ruminements intérieurs !!! avoir le courage de poser la question n'est pas forcément facile, mais une fois que les choses sont posées, il est plus facile de savoir quoi faire, quelle décision prendre... Sinon, on peut baser notre réflexions sur des idées complètement fausses. Et alors se créent des malentendus qui peuvent avoir des conséquences importantes. Alors, n'hésitez pas... Osez...4 FAIS TOUJOURS DE TON MIEUXCet accord aussi m'a beaucoup aidé... J'étais souvent dans la recherche de la perfection. Je ne faisais pas de mon mieux, mais essayais de faire du mieux possible, tout le temps. Ce qui est assez destructeur, car la perfection n'existe pas, cela nous met des attentes de résultat très élevés, que nous avons du mal à atteindre et qui ne nous amène que de la frustration.... Ca nous prend toute notre énergie et nous épuise petit à contre, il est important de faire de son mieux. Ce mieux peut évoluer en fonction de notre état physique, émotionnel, .... Il faut l'accepter et adapter ses performances. Mais si on a toujours cet objectif en vue, alors nous sommes en accord avec nous SOIS SCEPTIQUE MAIS APPRENDS A ECOUTERIl est important d'être ouvert et de ne pas refuser un sujet parce qu'il est différent de ceux qu'on a l'habitude d'aborder... Etre ouvert ne signifie pas être idiot. A nous de nous renseigner sur ce que l'on entend et de se faire son opinion. Ouvrons notre vous voulez en savoir plus, je ne saurais que vous conseiller de lire ce livre. Et pourquoi pas, mettre en pratique ces accords ? dès maintenant ?Qu'en pensez-vous ?Les connaissiez-vous ? Si oui, que vous ont-il apporté ,J'ai hâte de lire vos commentaires...Namasté
Don Miguel Ruiz Après avoir lu les livres de Don Miguel Ruiz et eu l’occasion de le rencontrer au Mexique, voici dix ans, j’ai continué d’utiliser les principes exposés dans Les Quatre Accords Toltèques. J’ai d’ailleurs écrit à l’époque une série d’articles sur les outils toltèques que propose Don Miguel, qui sont parus dans divers médias français et suisses. C’est avec les deuxième et troisième accords toltèques que j’ai rencontré le plus de difficultés Quoi qu’il arrive, n’en fais pas une affaire personnelle » et Ne fais pas de suppositions ». Cela tient sans doute à leur formulation négative, en ne… pas ». On sait en effet aujourd’hui que le cerveau, et plus particulièrement le subconscient, a du mal à comprendre les ordres négatifs, voire – pire – qu’il fait exactement ce qu’on lui intime de ne pas faire. Dites par exemple à un enfant sur son vélo, Ne t’approche pas trop de ce trou ! », et – devinez quoi ? – il se dirigera droit dessus et tombera dedans. Très tôt, dans la vie, j’ai pris l’habitude de prendre le contre-pied de mes propres pensées, d’inverser et de retourner mon point de vue. Je faisais cela au début par jeu et par simple curiosité, mais, par la suite, j’ai compris qu’un point de vue unique ne permet jamais d’avoir une vision complète de ce qu’on observe, de même qu’un seul spot lumineux produira immanquablement une ombre de l’autre côté de l’objet qu’on éclaire. Il faut au minimum deux spots – idéalement plusieurs – pour éviter les ombres. Dès lors, chaque fois que j’avais du mal à appliquer les deuxième et troisième accords toltèques, je faisais ce qu’il m’était naturel de faire je les inversais. Les résultats se révélèrent si intéressants que j’ai fini par en faire deux Renversements d’Accord Toltèques, comme j’aime à les appeler, et que j’ai élaboré au fil des ans une manière de travailler avec eux que d’autres ont également trouvé utile. À titre de complément au Don du Pardon, je vous offre donc ces deux Renversements d’Accord Toltèques ci-dessous, tirés des deuxième et troisième accords de Don Miguel Prenez tout personnellement » et Faites de nombreuses suppositions » ! Le premier Renversement d’Accord Toltèque Prenez tout personnellement » Quand j’ai commencé à mettre en pratique Les Quatre Accords Toltèques, j’avais du mal à appliquer le deuxième, Quoi qu’il arrive n’en faites pas une affaire personnelle » ou, en abrégé, Ne prenez rien personnellement ». C’est vrai comment s’y prend-on ? Bien sûr, j’ai suivi les instructions de Don Miguel qui explique que ce que les autres disent de moi n’a en réalité rien à voir avec moi. Mais à mes yeux, cette approche comporte un danger caché, surtout quand on l’applique de manière simpliste elle peut pousser les gens – comme on le voit parfois dans le milieu du développement personnel – à s’enfermer dans une bulle. Dès lors, évidemment, tout ce que dit autrui cesse de les affecter, de les faire réagir. Mais le risque est de se retrouver ainsi complètement coupé des autres ! Quoi que disent les gens, ces personnes-là répondent, C’est ton affaire », C’est ton problème », C’est ton point de vue », C’est toi qui vois cela comme ça », etc. L’échange n’est plus vraiment possible, tout glisse sur elles comme l’eau sur les plumes d’un canard. Or, ne pas prendre les choses personnellement » ne signifie pas ne pas les prendre du tout ! Le but n’est pas de devenir imperméable, insensible, isolé. Par ailleurs, je m’étais rendu compte que, lorsque je prends les choses personnellement, c’est toujours parce que les jugements et les remarques négatives d’autrui sont venus faire écho à toutes les critiques que je m’adresse à moi-même. C’est comme lorsqu’on gratte la corde de ré d’une guitare et que, par résonance, la même corde d’autres instruments se trouvant à proximité – guitare, violon ou piano – se met à vibrer à son tour. Mes réactions à ce qu’autrui dit ou fait m’indiquent donc quels sont les jugements que je continue d’avoir sur moi-même. Par conséquent, en les utilisant de manière judicieuse, ces réactions peuvent en réalité m’aider à les identifier et à m’en défaire. J’ai donc décidé de Tout prendre personnellement », de délibérément laisser les autres appuyer sur mes boutons, d’observer ce que cela déclenchait en moi, sans essayer de m’y soustraire ou de l’éviter. Dès que je me suis mis à fonctionner ainsi, j’ai développé une conscience encore plus aigüe de ce qu’autrui déclenchait chez moi. Sitôt que j’identifiais un jugement intérieur en moi – c’est-à -dire la raison interne de ma réaction à des déclencheurs externes – j’utilisais les outils que décrit Don Miguel dans Pratique de la Voie Toltèque et d’autres que j’ai découverts au fil des ans pour me libérer de ce jugement contre moi-même. Je commençais généralement par identifier l’origine de ce jugement. On a en effet tendance à se juger de la même manière que nous jugeaient nos parents, nos professeurs et autres figures d’autorité, quand nous étions enfants. Petit, je n’avais pas d’autre choix que d’accepter les étiquettes que me collaient les adultes, mais devenu grand à mon tour, je me rends bien compte – si je prends le temps de les remettre en question – que ces jugements sont biaisés, partiels et inexacts. L’opinion d’autrui l’est toujours, d’ailleurs personne n’est 100 % objectif à notre sujet. En prenant conscience de cela, pas seulement globalement, mais jugement par jugement, opinion par opinion, j’ai progressivement retiré à autrui le pouvoir de me juger et de me définir, ou – plus exactement – le pouvoir de laisser ces jugements et définitions avoir le moindre impact sur moi. Olivier Clerc J’ai constaté que chaque fois que je parvenais à identifier et à me libérer de l’un des jugements que je portais sur moi-même, je me libérais du même coup des critiques de même nature émanant des autres, qui cessaient de m’affecter… sans pour autant que j’aie à me couper de ces personnes ou à ne pas écouter et recevoir ce qu’elles disaient. Comme le dit le cinquième accord toltèque Soyez sceptique, mais apprenez à écouter ». Or, plus je me libère de mon propre juge intérieur, plus je suis libre des jugements d’autrui, moins j’ai la moindre chose à craindre ou à défendre, ce qui me permet d’être tout à fait ouvert et réceptif à ce que disent les autres. Le Renversement d’Accord Prenez tout personnellement » est donc un bon moyen d’identifier la façon dont les réfléchissent dans notre direction notre propre négativité envers nous-mêmes. L’opinion et les jugements d’autrui n’ont de pouvoir que dans la mesure où ils ont cet effet miroir. Musicalement parlant, c’est nous qui donnons aux autres le pouvoir de nous faire réagir, en conservant en nous des cordes dissonantes, susceptibles d’entrer en résonance avec les propos désagréables qu’ils peuvent tenir. Sitôt que nous avons éliminé cette corde dissonante de notre registre ou – image plus pertinente ici – que nous l’avons ré-accordée sur ce qu’il y a de meilleur en nous, nous ne résonnons plus de la même manière. Les vibrations négatives de notre entourage ne déclenchent plus rien chez nous elles nous traversent librement, sans nous affecter le moins du monde. Nous restons tout à fait capables d’entendre ce qui nous est dit, d’en apprendre même quelque chose ne serait-ce que le point de vue de notre interlocuteur, ce qu’il projette sur nous, mais nous n’avons plus de réactions personnelles négatives, puisque nous ne portons plus ces jugements-là contre nous-mêmes. Il y a, je trouve, quelque chose de jubilatoire à pouvoir passer de la crainte de prendre les choses d’une manière personnelle – et de l’effort d’éviter à tout prix de telles réactions – à l’acceptation de réagir personnellement à ce que les gens peuvent dire ou faire. On finit même par inviter consciemment des réactions de ce genre, afin de mieux se connaître et d’avoir de précieux indices sur ce qu’il reste à transformer en soi, pour progresser vers la liberté intérieure. On aborde alors chaque journée en se disant, Qu’est-ce que je vais apprendre sur moi aujourd’hui de mes interactions avec mon conjoint, ma famille, mes voisins et mes collègues ? Quelles réactions vont-ils éventuellement déclencher en moi ? ». Quand on les accueille avec cette attitude-là , nos réactions ne nous font plus peur, nous ne les fuyons plus, nous ne craignons plus qu’elles soient le signe que nous ne sommes pas assez spirituels ou évolués ». Nous les interprétons au contraire comme les symptômes révélateurs de ce qui cherche à se résoudre et à guérir en nous. Et rien n’empêche d’en faire un jeu ! Cette approche n’est pas forcément destinée à tout le monde y en a-t-il une qui le soit ?. À vous de voir si elle vous convient ou non. Mais, rappelez-vous les vérités et les outils spirituels sont pareils à des fruits délicieux, gorgés de vie. Si quelqu’un vous offre une mangue parfumée et juteuse, vous n’allez pas l’encadrer pour la mettre au mur de votre chambre, ni la disposer religieusement sur un petit autel privé pour brûler de l’encens devant, en priant. Non. Vous allez mordre joyeusement dedans, y planter les crocs, en savourer le jus et l’arôme, la réduire en bouillie dans votre bouche avant de l’avaler. Puis, votre système digestif en triera méticuleusement les composants, de sorte que vous finirez par en assimiler tous les nutriments essentiels dont vous avez besoin vitamines, sucres, oligoéléments, etc. avant de rejeter dans vos urines et vos selles tout ce qui ne vous sert pas. Les vérités spirituelles qui nous sont offertes sont appelées à subir le même sort. Nous devons joyeusement les déguster, en extraire les énergies et la vie qu’elles contiennent, puis faire un tri en fonction de notre propre structure et de nos besoins. Il nous reste alors à intégrer ce qui nous est utile, puis à éliminer les parties que notre organisme, notre être intérieur, ne peut assimiler. Voilà ce que tout maître spirituel authentique attend de ses apprentis ou de ses disciples. Une telle attitude est d’ailleurs un excellent antidote aux attitudes sectaires que développent certains, qui nuisent autant au guide spirituel qu’à ses dévots fanatiques. Il faut parfois savoir trahir la forme, ou tout au moins la changer, pour rester fidèle au fond. Le second Renversement d’Accord Toltèque Faites de nombreuses suppositions » Le troisième accord toltèque – Ne faites pas de suppositions » – était encore plus difficile à appliquer pour moi que le second. Moi, ne pas faire de suppositions ? La bonne blague ! Autant demander à un singe de ne pas faire de grimaces. Je fais des suppositions tout le temps ! Bien sûr, il y a de nombreuses situations où je peux facilement arrêter d’en faire, et le troisième accord toltèque m’a été bien utile pour cela. Par exemple, au lieu d’essayer de deviner ce que pense quelqu’un, ce qu’il a l’intention de faire, je peux parfaitement le lui demander ! Chaque fois que c’est possible, cette attitude permet d’éviter tous les problèmes et conflits qui voient le jour simplement parce qu’on s’imagine ce que les autres ont en tête ou dans le cœur, qu’on leur prête des intentions, au lieu de vérifier directement auprès d’eux ce qu’il en est. Mais il y a aussi de multiples situations où on l’on ne peut pas demander ce qui motive les actes, propos ou décisions d’autrui. Je ne peux pas demander au conducteur qui me double dans un virage ce qui le pousse à rouler aussi dangereusement. Je ne peux pas demander à un ami qui est en retard et injoignable par téléphone, pourquoi il n’est pas à l’heure. Je ne peux pas demander à un leader politique pourquoi il a pris telle décision qui a sur ma vie un impact que je déplore. Et ainsi de suite. De toute évidence, nous sommes tous confrontés à des événements au sujet desquels il nous est impossible de savoir ce qui se passe vraiment, d’en connaître les tenants et aboutissants, de sorte que nous tentons naturellement de deviner ce que nous ignorons, faisant spontanément des suppositions quant aux causes et aux intentions en jeu dans ce que nous observons. Mais, quand on y regarde de plus près, le problème n’est pas que nous fassions des suppositions. Le vrai problème, me suis-je rendu compte, n’est pas de faire des suppositions, au pluriel ; c’est de faire une supposition, au singulier, puis de croire qu’elle est vraie. En effet, si nous n’y prêtons pas attention, notre première supposition découle le plus souvent des intentions négatives que nous prêtons – ce qui implique clairement que ce sont les nôtres – aux autres. Dès lors, à travers le comportement d’autrui, nous réagissons personnellement à nos propres intentions, après les avoir projetées sur lui ! Pour éviter cela, et au lieu de ne faire aucune supposition – ce qui est trop demandé à un mental comme le mien – j’ai résolu de m’astreindre à faire au moins deux suppositions contraires, dans toute situation, voire davantage trois, quatre, cinq ! Par exemple un conducteur me fait une queue de poisson dans le trafic. Ma première supposition est peut-être que ce n’est qu’un chauffard de plus, quelqu’un qui se fiche des autres et ne pense qu’à lui. Aussitôt, au lieu de croire cette première supposition automatique, presque inconsciente, j’élabore immédiatement et consciemment deux autres suppositions totalement différentes si ça se trouve, sa femme est en train d’accoucher sur la banquette arrière et il fonce à l’hôpital ; ou alors, il est en pleine crise d’asthme et doit trouver une pharmacie au plus vite pour avoir sa Ventoline. Vous comprenez le principe. Le plus important, c’est qu’en multipliant les suppositions, je prends clairement conscience que je n’ai aucune idée de ce qui motive véritablement le comportement qui me dérange. Bien sûr, je continuerai de trouver ce comportement déplaisant, mais je ne me laisserai pas aller à cultiver du ressentiment, à émettre des jugements et à ruminer des pensées négatives. Je ne fais pas un problème mental d’une contrariété concrète. Quand nous ne faisons qu’une seule supposition, notre mental projette une intention négative sur les actes d’autrui et, de la sorte, justifie les sentiments peu reluisants que ceux-ci éveillent en nous. La tête devient alors le valet de l’ego, et notre cœur se laisse submerger par les voix de la colère et du ressentiment qui l’empressent de se refermer. Au lieu d’utiliser toutes ses capacités de réflexion, le mental en est ainsi réduit à être l’esclave de nos émotions les plus sombres. À l’inverse, quand nous cultivons délibérément plusieurs suppositions très différentes, l’intellect déploie toute son aptitude à penser – si la pensée à des ailes, ce n’est pas pour rester derrière les barreaux de nos peurs –, ce qui lui permet d’envisager la même situation sous plusieurs angles, afin de garder le cœur ouvert et de ne pas se fermer à la première contrariété. Le mental projette alors de multiples éclairages sur une même situation, évitant ainsi de créer des ombres uniques. Il empêche de la sorte le cœur de mariner dans des eaux froides, sombres et marécageuses, le maintenant au contraire dans une lumière chaleureuse. À ce propos, certains exégètes de la Bible suggèrent que l’invitation de Jésus à tendre l’autre joue », quand quelqu’un nous frappe, fait référence à cette polarité intérieure que nous possédons tous l’intellect les pensées, les idées et le cœur les sentiments, les émotions. Quand quelqu’un vous frappe sur la joue gauche – le cœur – et que vous êtes submergé de sentiments négatifs, tendez la droite, utilisez votre intellect pensez, réfléchissez, activez vos méninges, pour vous sortir au plus vite du marais boueux de vos émotions. Inversement, quand on vous frappe sur la joue droite – l’intellect – quand vous n’arrivez plus à penser clairement et que votre mental rumine les mêmes idées noires, branchez-vous sur votre cœur et vos sentiments cultivez des sentiments chaleureux, exprimez de l’affection autour de vous fût-ce à un animal de compagnie, laissez l’eau de l’amour réhydrater le sol de votre vie qu’ont desséché les vents du mental. Dans la Grèce antique, les sophistes apprenaient à leurs étudiants à défendre une idée de la manière la plus convaincante possible, avec les meilleurs arguments, avant d’adopter le point de vue totalement opposé… et de le défendre avec autant de vigueur et de talent. Ce genre de compétences fait malheureusement cruellement défaut dans l’éducation moderne. Par conséquent, nous sommes souvent des cyclopes de la pensée, limités à un seul point de vue et à une seule supposition sur chaque chose, prisonniers de réactions limitées et privés d’une véritable liberté de pensée. Qui plus est, la majeure partie de notre système éducatif se concentre exclusivement sur les facultés intellectuelles, au détriment du cœur, de l’affectif. Nous ne recevons donc pratiquement ni information, ni formation sur les interactions qui se produisent entre ces deux polarités fondamentales de notre être la tête et le cœur. Comment mes sentiments influencent-ils et parfois déforment-ils mes pensées ? Comment mes pensées déclenchent-elles, justifient-elles ou contrent-elles mes sentiments ? Qu’est-ce qui prédomine en moi ? Suis-je libre de mes pensées et de mes sentiments ? Ou suis-je l’esclave de peurs, de croyances, d’émotions dont j’ignore totalement l’origine et les conséquences ?… Dans la tradition toltèque, la première maîtrise est la Maîtrise de la Conscience. Et, effectivement, si nous voulons devenir libres, nous devons tout d’abord prendre conscience de ce qui se passe en nous. Apprendre à multiplier les suppositions, sitôt qu’arrive quelque chose qui déclenche en nous un a priori négatif, est une manière à la fois simple et puissante de recouvrer toute notre liberté intellectuelle et mentale. Cela nous permet d’être moins victimes des émotions et sentiments négatifs qui nous submergent par moment. Si vous avez un intellect vif et bien développé, qui démarre au quart de tour, toujours prompt à faire des suppositions et à réfléchir, ce second Renversement d’Accord Toltèque peut se révéler particulièrement efficace. Ce qu’il y a de merveilleux, dans cette façon de faire, c’est que plus vous multipliez les suppositions les plus contradictoires, moins vous croirez automatiquement l’une ou l’autre d’entre elles vous renforcerez ainsi votre capacité à accorder la même valeur à plusieurs idées conflictuelles. Les bénéfices potentiels sont énormes vous accéderez à une vraie liberté de pensée et, conjointement, vous deviendrez de plus en plus capable de choisir les sentiments que vous voulez cultiver dans votre cœur. Ça, c’est une véritable libération ! Ces deux Renversements d’Accord apportent simplement un autre éclairage sur les enseignements toltèques de Don Miguel Ruiz. Ils concordent d’ailleurs avec ceux de diverses autres traditions. Le contraire d’une vérité est aussi une vérité, affirment de nombreux sages. Qui plus est, vous n’avez pas à choisir entre les accords toltèques originaux ou leur version inversée vous pouvez librement utiliser les uns ou les autres, en fonction de vos préférences, et varier d’un jour à l’autre d’après vos besoins. Je n’ai pas jugé utile d’inventer des contre-accords au premier accord toltèque Que ta parole soit impeccable », ni au quatrième Fais toujours de ton mieux ». Cela ne m’a pas paru nécessaire, ayant du plaisir à les pratiquer tels quels. Avoir une parole impeccable – aussi difficile que cela puisse être par moment – est une injonction que l’on retrouve dans de nombreuses voies spirituelles. Jésus, par exemple, disait Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui rend l’homme impur. Mais ce qui sort de la bouche, voilà ce qui rend l’homme impur. » Et Maître Philippe de Lyon, l’un des plus grands guérisseurs du 20ème siècle, parfois appelé le maître inconnu », demandait comme seul “paiement” à ses guérisons souvent miraculeuses Ne dites pas de mal d’autrui durant [selon la personne concernée] une heure… un jour… un mois… [ou davantage] ». Voilà , je trouve, qui en dit très long sur la puissance du premier accord toltèque, dont Miguel Ruiz souligne qu’à lui seul il peut totalement transformer toute notre vie. De manière analogue, j’utilise le quatrième accord toltèque tel qu’il est. Faire de son mieux » une injonction toute simple en apparence, que certains jugeront hâtivement un peu boy-scout, mais dont la portée est autrement plus grande qu’il n’y paraît de prime abord. Je me rappelle avoir entendu Marshall Rosenberg, fondateur de la communication non-violente CNV, faire un renversement très intéressant du dicton, Ce qui mérite d’être fait, mérite d’être bien fait ». Il disait plutôt Ce qui mérite d’être fait, mérite même d’être fait de manière approximative ». Que voulait-il dire par là ? Que si quelque chose mérite vraiment d’être fait, cela vaut la peine de le tenter, même si l’on n’y parvient pas très bien. Qu’il vaut mieux faire de son mieux », fût-ce imparfaitement, que de ne rien faire du tout, sous prétexte que ce ne sera pas parfait. En résumé, les renversements, les inversions peuvent parfois nous ouvrir des perspectives insoupçonnées, quand on se sent coincé, quand tel outil, telle idée ou solution ne semble plus donner de résultat, quand ce que nous croyons vrai nous fait ruminer des pensées et des sentiments négatifs. Et si on allait voir de l’autre côté ? Et si on prenait tout cela par l’autre bout ? Et si on faisait tout le contraire ? Ça donnerait quoi ?… Le merveilleux symbole du Tao nous rappelle que, dans la nature, l’harmonie résulte des interactions entre énergies différentes de même valeur. Les tigres et les éléphants, par exemple, jouissent d’une force qui les place au sommet de la chaîne alimentaire… à l’autre extrémité de laquelle on trouve les virus et les microbes qui, en dépit de leur taille infinitésimale, possèdent eux aussi un pouvoir considérable et peuvent affaiblir ou même tuer des créatures considérablement plus grandes qu’eux. Le pouvoir se répartit ainsi équitablement entre polarités opposées. Dès lors, quand nous nous sentons impuissants, démunis, désemparés, c’est peut-être le signe qu’il est temps d’essayer le contraire de ce qu’on a fait jusque-là , d’aller vers la polarité opposée. La vie ne cesse de nous inviter à ne pas nous limiter, à explorer plus loin, à continuer d’avancer et de progresser. Cette progression est sans fin, de sorte que sitôt que nous croyons que nous y sommes », que nous avons atteint notre destination, une nouvelle route s’ouvre déjà devant nous. N’est-ce pas merveilleux ? Je vous souhaite tout le meilleur sur votre propre chemin ! Olivier Clerc .
accord tolteque ne rien prendre personnellement