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6H2cGy9. L'astuce déco d'Aurélie Hémar relooker une chambre dans un esprit campagne chic France 2 L'Atelier Déco de cette semaine relooke une chambre à coucher sous les toits dans un style campagne chic. Pour cela, Aurélie Hémar remet au goût du jour d'anciennes tables de chevet en bois et un pied de lampe. Le résultat ? Un coin couchage sobre et élégant ! Aurélie Hémar vient en aide à Nathalie et Adam pour donner à leur chambre à coucher une touche Shabby chic. Elle patine d'ancienne tables de chevet en bois et modernise un vieux pied de lampe pour rafraîchir la déco de la pièce. Suivez pas à pas ces deux astuces pour transformer une chambre ringarde en coin cosy et raffiné ! Vidéo d'Aurélie Hémar transformer ses tables de chevet Matériel nécessaire pour relooker des tables de chevet en bois- Une visseuse - Du mastic - Une spatule - Du papier de verre - Une ponceuse - Des camions à peinture - De la sous-couche acrylique - Des pinceaux à rechampir - Des pattes de lapin rouleaux - De la peinture acrylique mat clair - De la peinture acrylique mat plus foncé - Du vernis de protection incolore si peintures non-lessivable - De la colle en bombe - Du papier à motif - Un réglet - Un cutter Le tuto d'Aurélie Hémar pour rafraîchir des vieilles tables de chevet1. Retirer la porte. 2. Boucher les trous avec du mastic. 3. Poncer le mastic. 4. Mettre une sous-couche sur le meuble et laisser sécher. 5. Peindre l'intérieur en acrylique mat. Mettre deux couches de peinture, si nécessaire, pour un meilleur résultat. Attention bien respecter le temps de séchage de la peinture entre les deux couches. 6. Peindre le caisson extérieur d'une autre couleur en acrylique mat. 7. Vernir le meuble si les peintures utilisées ne sont pas lessivables. 8. Prendre les mesures du fond des chevets et couper la forme dans du papier à motif. 9. Coller au fond des chevets le papier à motif à la colle en bombe. La table de chevet en bois avant 2La table de chevet en bois après 2La table de chevet en bois après 2Vidéo d'Aurélie Hémar patiner un pied de lampe en bois Matériel nécessaire pour relooker un pied de lampe avec de la patine- Une scie - Un rond en médium de 30 cm de diam - Une perceuse avec mèche plate au diam du tourillon - Un abat-jour - Un pistolet à colle chaude - Du lin blanc - Des ciseaux - Un gabarit papillon - Du sucre de canne liquide - Un livre - De l'aluminium - Un pinceau fin - Une douille - Une ampoule - Du fil électrique torsadé - Une prise - De la peinture acrylique grise - De la peinture acrylique blanche - Un pinceau à rechampir - Un camion à peinture Le tuto d'Aurélie Hémar pour patiner un vieux pied de lampe1. Découper un rond en médium de 30 cm de diamètre. 2. Percer le centre. 3. Dévisser le pied, placer le rond de bois au centre et remonter le pied. 4. Peindre le pied de lampe en acrylique gris taupe mat. Mettre deux couches de peinture, si nécessaire, pour un meilleur résultat. Attention bien respecter le temps de séchage de la peinture entre les deux couches. 5. Mettre en relief avec la peinture acrylique blanche. Laisser sécher. Le plateau rond reste taupe. 7. Dans du tissu en lin blanc, reproduire des papillons et les découper. 8. Sur de l'aluminium, placer les papillons en tissu et les enduire de sucre de canne culinaire liquide. 9. Laisser sécher 48h dans un livre pour donner l'envergure au papillon. 10. 48 heures après, le sucre est dur, le papillon aussi. 11. Coller au pistolet à colle, les papillons sur l'abat-jour, coller aussi des papillons sur le pied. 12. Installer le système électrique. France 2France 2La chambre à coucher avant et après le relooking décoLa chambre à coucher avant le relooking 2La chambre à coucher après le relooking 2La chambre à coucher après le relooking 2La chambre à coucher après le relooking 2>> Retrouvez l'Atelier déco avec Aurélie Hémar sur France 2 le samedi à 17h10 et 18h10. Vous souhaitez solliciter Aurélie Hémar et son équipe d'experts pour votre projet déco ? Rendez-vous sur le site de France 2. France 2
Le 20 septembre 2017 s’est ouverte au Musée de Cluny l’exposition Le Verre, un Moyen Âge inventif » . La majorité des œuvres présentées sont évidemment des objets de verre, issus de fouilles archéologiques ou de collections muséales, mais la BnF a également contribué de façon significative en prêtant pour l’occasion une vingtaine de manuscrits et d’incunables dont les enluminures et gravures illustrent le contexte de l’usage des verres au Moyen Âge. Il n’est en effet pas toujours évident de déduire la fonction des pièces que l’on retrouve en fouilles d’après leur forme très peu décrite dans les archives et en cela les manuscrits et livres imprimés constituent une source d’informations précieuse. L’exposition met ainsi en regard les objets présentés et leur représentation figurée. Les ressources offertes par la BnF sont également très utiles pour étudier l’histoire du verre à une période plus tardive nous nous intéresserons ici plus particulièrement au XVIe siècle français, période qui suit immédiatement celle étudiée dans le cadre de l’exposition, et en l’occurrence au lien entre verre et service de la boisson. L’étude des verres spécialisés verrerie d’apothicaire, de médecine, objets insolites… fera l’objet d’un second billet. Verre et manières de table Le premier, et le plus évident, contexte d’utilisation de la verrerie au XVIe siècle est celui des arts de la table et du service de la boisson. La très grande majorité des verres de cette époque mis au jour lors de fouilles archéologiques parisiennes, comme celles de la cour Napoléon du Louvre, est constituée de verres à boire et de bouteilles1. La BnF conserve par ailleurs une estampe et deux dessins représentant des colporteurs de verres parisiens respectivement de la première et de la seconde moitié du XVIe siècle2, qui illustrent bien la nature de la marchandise la plus vendue à l’époque, celle-ci se compose essentiellement de verrerie de table gobelets, verres à pied, carafes et bouteilles. [Cris de Paris], gravure sur bois, première moitié du XVIe s. BnF, Arsenal, cote RESERVE EST-264 Habits de France. 1581 ? Dessins originaux du XVIe siècle. BnF, dép. des Estampes et de la photographie, cote RESERVE OA-39-4 [Verrier, 1586], dessin de Louis Boudan pour la collection de Roger de Gaignières 1642-1715. BnF, dép. des Estampes et de la photographie, cote RESERVE OA-17-FOL Le repas était, au XVIe siècle, un acte social important, du moins chez les plus aisés, et les manières de table étaient codifiées. Ces règles de bonne conduite étaient compilées dans des traités de civilité, dont l’un des plus connus est celui d’Érasme, De civilitate morum puerilium La Civilité puérile », publié en 1530. Il y consacre quelques lignes à la façon de bien boire ». Les recommandations qu’il formule dans son ouvrage attestent que l’usage du verre était courant à table. S’il est aujourd’hui d’usage que chaque convive possède son propre verre, ce n’était pas toujours le cas au XVIe siècle. Un même verre pouvait ainsi être partagé par deux ou trois commensaux voire par toute la tablée. Érasme conseille ainsi au lecteur avant de boire, achève de vider ta bouche et n’approche pas le verre de tes lèvres avant de les avoir essuyées avec ta serviette ou avec ton mouchoir, surtout si l’un des convives te présente son propre verre ou si tout le monde boit dans la même coupe ». À la fin du XVIe siècle, on perçoit une certaine évolution des manières de table et il devient plus courant que le nombre de verres égale le nombre de convives. Montaigne 1533-1592 laisse entendre dans ses Essais que lui-même préfère boire dans une coupe qui lui est propre mais suggère que cette habitude est plutôt un raffinement qu’une pratique répandue3. Pour ce qui est de la manière, l’iconographie du repas suggère que les verres étaient saisis par le pied4. Le verre n’était pas posé de façon permanente sur la table mais était apporté par des serviteurs à la demande des convives. Une fois le verre vidé, le serviteur le reposait sur une desserte, spécifiquement dédiée au service de la boisson, placée à l’écart de la table principale. Thomas Artus d’Embry décrit lui aussi dans son ouvrage satirique L’Isle des Hermaphrodites ce qui semble être le cérémonial de table dans les milieux aristocratiques, en soulignant, peut-être à outrance, les raffinements qui entourent ce véritable rituel “Outre le gentil-homme servant qui apportoit les verres et faisoit l’essay, il y en avoit encore deux autres qui apporterent les assiettes que j’avois veuës à la credence où estoit ceste neige et ceste glace, desquelles l’Hermaphrodite prenoit tantost de l’une et tantost de l’autre, selon qu’il luy en venoit la fantaisie, pour les mettre dans son vin à fin de le rendre plus froid ; apres il se remuoit un peu le corps et branlant la teste il prenoit le verre fort delicatement et beuvoit, et tandis qu’on luy tenoit une serviette soubs le menton de peur qu’il ne repandist quelque chose, puis il rendoit son verre au gentil-homme, qui faisant semblant de baiser sa main, le reportoit […] Une autre petite table estoit à costé [du buffet] où l’on mettoit les verres et quelques autres “ On trouvait parfois au pied des dressoirs des rafraîchissoirs à bouteilles. Cela est également rapporté par Thomas Artus d’Embry Au pied de ceste table, on voyoit une cuvette de cuivre pleine d’eau dans laquelle il y avoit plusieurs flacons et bouteilles ». Ces descriptions sont conformes à l’iconographie du repas du XVIe siècle, telle qu’elle est figurée, par exemple, sur la tapisserie de la tenture des “Fructus Belli” représentant le dîner du Général, conservée au musée national de la Renaissance d’Écouen. Giulio Romano d’après, Le dîner du général. Musée national de la Renaissance d’Écouen.© RMN-Grand Palais musée de la Renaissance, château d’Écouen / Jean-René Ojéda Pour le repas du roi, le rituel était encore davantage codifié bouteilles et verres sont placés sur une desserte, comme nous l’avons exposé, mais celui qui servait la boisson devait aussi être issu de la noblesse. Il se tenait debout derrière le monarque et attendait qu’il demande à boire. Le vin, avant d’être servi dans une coupe dorée ou un verre à pied en cristal », était goûté par le premier médecin du roi6. Verres d’usage et de prestige7 Les inventaires après décès parisiens du XVIe siècle ne mentionnent que rarement la présence de verre parmi les possessions des défunts et quand c’est le cas il ne s’agit la plupart du temps que d’une ou deux bouteilles couvertes d’osier qui ne servaient pas à conserver le vin mais juste à le transporter et à le servir à table. Les verres sont trop fragiles et bon marché pour être listés dans les inventaires le prix des objets inventoriés est systématiquement indiqué. La vaisselle du quotidien des Parisiens était principalement constituée de pièces en étain, matériau plus solide et donc plus durable et pratique que le verre. En revanche, les inventaires font souvent mention de verriers », c’est-à -dire un meuble destiné à ranger des verres8. Par ailleurs, les fouilles archéologiques menées à Paris quartier du Louvre, rue des Lombards… ont mis au jour des lots très importants de verres à boire du XVIe siècle9 et pas seulement dans des quartiers aisés. Les verres à boire faisaient donc bien partie du quotidien des Parisiens. La typologie de la vaisselle de verre d’usage commun était assez restreinte. Au XVe siècle et au début du XVIe siècle, le gobelet est la forme de verre à boire la plus répandue10, mais est progressivement concurrencée et remplacée par le verre à pied au cours du XVIe siècle. Les trois illustrations représentant des marchands de verres11 parisiens figurent bien la prédominance de cette forme de verre à boire dans la seconde moitié du XVIe siècle. Harleqion verrier recueil Fossard / artiste français du XVIIe siècle. BnF, dép. des Estampes et de la photographie. Les Parisiens les plus aisés pouvaient acquérir auprès des merciers et marchands de verres appelés marchands verriers » dans les archives de véritables services de table en verre dévolus aussi bien à la consommation de boissons que de mets solides. Il s’agit d’un certain raffinement comme le souligne une fois encore Montaigne qui écrit à propos de ses habitudes de table Moy je me laisse aller de mesme à certaine forme de verres, et ne boy pas volontiers en verre commun non plus que d’une main commune tout metail [métal] m’y deplaist au prix d’une matiere claire et transparante que mes yeux y tastent aussi selon leur capacité. Je dois plusieurs telles mollesses à l’usage. »12 Les gammes de formes, de couleurs et de décors de la vaisselle de verre de luxe » sont plus riches que pour les verres communs. La variété des formes de la verrerie de table était étroitement liée à la variété de l’alimentation aristocratique on trouve des assiettes, bouteilles, flacons, coupes à boire avec ou sans couvercle mais aussi tasses de l’italien tazza » ou coupe plate à boire ou à mettre confiture », drageoirs pour présenter les dragées » et autres sucreries servies en fin de repas13. Le terme confiture » renvoie d’ailleurs à l’époque à différents types de mets sucrés fruits confits appelés parfois confitures sèches », gelées, sirops… dont les recettes sont consignées dans des livres spécialisés dont le plus célèbre est rédigé par Michel de Nostre-dame – dit Nostradamus – publié à Lyon en 1555. Les verres les plus précieux venaient de Venise qui était devenue le centre verrier le plus important et réputé d’Europe en raison de l’inventivité et de la maîtrise technique des verriers installés sur l’île de Murano. Au milieu du XVe siècle, ces verriers mirent au point un type de verre très pur et transparent dont l’aspect s’apparente à celui du cristal de roche on en attribue l’invention à Angelo Barovier vers 1450-145514. D’où son nom de verre cristallo », qu’on trouve sous le terme de cristallin » dans les archives françaises. Le verre cristallo était employé pour souffler toutes sortes de formes qui étaient ensuite richement décorées à la feuille d’or et à l’émail. Les verriers vénitiens parviennent également à donner au verre l’aspect de la calcédoine vetro calcedonio », de la porcelaine vetro lattimo », à le décorer de filigranes complexes… mais ce sont surtout les verres cristallo dorés et émaillés qui rencontrèrent un grand succès dans toute l’Europe. Ce sont de véritables œuvres d’art parfois ornées des armoiries de leurs propriétaires15. Lors des repas aristocratiques, ces verres étaient à l’occasion exposés sur des dressoirs16 dans un but ostentatoire. Les dressoirs ou buffets sont des meubles surmontés de gradins recouverts d’un drap blanc sur lesquels étaient surtout présentés des plats d’orfèvrerie et d’argenterie mais on y trouve parfois aussi des verres précieux comme en témoignent deux tableaux représentant l’allégorie des sens peints par Jan Bruegel et Pierre Paul Rubens, conservés au Musée du Prado. Ces verres sont des objets de collection lorsqu’on en trouve dans les inventaires de l’époque, ils ne sont jamais comptabilisés avec la vaisselle d’étain ou de céramique, ni avec les instruments de cuisine. Les verres les plus précieux sont conservés dans des cabinets d’objets d’art comme le révèlent les inventaires aristocratiques de l’époque, à commencer par celui de Catherine de Médicis 158917 qui possédait près d’une centaine de verres. Ceux du connétable de Montmorency étaient quant à eux entreposés avec la vaisselle d’argent et les émaux de Limoges dans plusieurs cabinets de son hôtel parisien inventaire de 156018. Ces verres sont des pièces de prestige, rarement utilisées. Pour les grands banquets royaux, comme à l’occasion des fiançailles du futur François II et de Marie Tudor ou pour les funérailles d’Henri II 1559, on loue verres, bouteilles et carafes auprès de marchands verriers parisiens qui sont restitués après les festivités. Les verres destinés au service de la table sont les objets de verre les plus couramment utilisés et ils faisaient partie du quotidien des Parisiens du XVIe siècle. La vaisselle de verre n’avait pas qu’une fonction utilitaire, elle pouvait jouer un rôle dans la théâtralisation du repas aristocratique en étant exhibée sur des dressoirs avec d’autres pièces d’apparat. Les sources archivistiques et les fouilles archéologiques témoignent également de l’existence d’autres types de verres d’usage plus spécialisé, verres médicaux, verres d’apothicaire, d’alchimie… qui feront prochainement l’objet d’un développement particulier. Pour en savoir plus Retrouvez une sélection des manuscrits visibles dans l’exposition sur le carnet MANUSCRIPTA manuscrits médiévaux conservés à la BnF. Apprenez en plus en vidéo sur Le verre à Paris dans la seconde moitié du XVIe siècle. Citer ce billet Elise Vanriest, "Le verre à la Renaissance part. I verre et arts de la table," in L'Histoire à la BnF, 17/11/2017, [consulté le 23/08/2022]. Voir l’article de Jorge Barrera dédié à la verrerie parisienne dans le catalogue Aspects méconnus de la Renaissance en Île-de-France, exposition du Musée archéologique du Val-d’Oise du 23 avril 1998 au 3 janvier 1999 à Guiry-en-Vexin, éd. Somogy, 1998. Disponible sur Gallica intra-muros. [↩]Estampe des Cris de Paris, XVIe siècle, bibliothèque de l’Arsenal, estampe n°244 fol. 30 ; Dessin du recueil Habits de France, vers 1581, Oa. 39, fol. 36 et dessin, vers 1580, RESERVE OA-17-FOL qui est une copie du premier. Tous deux sont conservés au département des Estampes et de la photographie et appartiennent à la collection Gaignières. [↩]Michel de Montaigne, Essais, Livre III, chapitre XIII, p. 1132, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 2007 [↩]Thierry Crépin-Leblond, Pierre Ennès, Le Dressoir du prince services d’apparat à la Renaissance, 18 octobre 1995-19 février 1996, Musée national de la Renaissance, château d’Écouen, Paris, Réunion des musées nationaux, 1995. p. 14 ; Festins de la Renaissance cuisine et trésors de la table, [Catalogue de l’exposition du Château de Blois 7 juillet-21 octobre 2012], Paris Somogy, p. 114 [↩]Thomas Artus d’Embry, L’Isle des Hermaphrodites, éd. Claude-Gilbert Dubois, Genève, Droz, 1996, Textes littéraires français, n° 467, [↩]René Gandilhon évoque ce protocole dans son article Henri IV et le vin », dans Bibliothèque de l’École des chartes, t. 145, livraison 2, 1987, p. 392. Disponible sur Gallica intra-muros. [↩]J’emprunte l’expression au titre de l’ouvrage de Jacqueline Bellanger, Verre d’usage et de prestige France, 1500-1800, Paris, Ed. de l’Amateur, 1988. [↩]Voir Le Verre un Moyen Âge inventif, catalogue de l’exposition du musée de Cluny – musée national du Moyen Âge – 20 septembre 2017-8 janvier 2018, Paris éd. Réunion des musées nationaux, p. 176. À retrouver bientôt dans les collections de la BnF. [↩]Voir note 1. [↩]Voir Le Verre un Moyen Âge inventif, p. 170 et suivantes. [↩]Deux estampes de la BnF et l’ Harlequin verrier » du Recueil Fossard [↩]Michel de Montaigne, Essais, livre III, chapitre XIII, p. 1132. [↩]Festins de la Renaissance…, [↩]Luigi Zecchin, Vetro e vetrai di Murano studi sulla storia del vetro, Venezia, Arsenale ed, 1990, vol. 1 p. 229 et 238. [↩]C’est le cas du service » d’Anne de Bretagne dont certaines pièces sont conservées au Metropolitan Museum of Art de New-York, au Victoria & Albert Museum de Londres, au musée national de la Renaissance d’Écouen ou encore de la coupe de Catherine de Médicis, attribuée aux verriers vénitiens travaillant à la verrerie royale de Saint-Germain-en-Laye et conservée au musée national de la Renaissance. [↩]Le Dressoir du prince…, p. 26 [↩]Edmond Bonnaffé, Inventaire des meubles de Catherine de Médicis en 1589 mobilier, tableaux, objets d’arts, manuscrits, Paris, A. Aubry, 1874. [↩]Léon Mirot, L’Hôtel et les collections du Connétable de Montmorency, Paris, Bibliothèque de l’École des Chartes, 1919. [↩]
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